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Dans le futur, il n’y a plus de « femme au foyer » mais des mères-auberge. La mère-auberge est une femme qui, célibataire à 35 ans, a fini par acheter un logement seule. Propriétaire de son toit, son foyer abrite généralement :
- les enfants que les hommes de sa vie lui ont laissés,
- son dernier concubin en date,
- une femme d’un pays du tiers-monde qui l’aide à l’éducation des enfants.
L’homme du futur est donc un éternel locataire, qui paie à la mère-auberge un loyer le temps de leur idylle. Il ne possède en propre que quelques meubles ou objets de valeur et bien sûr sa console de jeux et sa collection de DVD. Sa vie d’homme consiste à guetter une mère-auberge, à la séduire, et à s’installer chez elle. Quand la femme se lasse, le voilà dehors, en quête d’une nouvelle mère-auberge, transbahutant ses quelques possessions ou les stockant en garde-meubles le temps de sa période de célibat.
La mère-auberge doit l’asile aux lardons qu’on lui laisse jusqu’à leur majorité. Elle a toutes les charges et les responsabilités d’un propriétaire et d’un parent, et l’activité professionnelle intense qui lui permet d’y faire face. Malgré tout, elle est satisfaite de sa vie, qu’elle qualifie « d’indépendante ».
Dit comme ça c’est un peu minant :o)
Bien entendu ce n’est que de la science-fiction ! 🙂
terrible
mais grâce à leur recherche fulgurante dans les sciences absurdes et paradoxales elles réussirent à créer une machine à voyager dans le temps et retournèrent toutes en 1860 s’occuper des marmots pendant que c’était le gentil mais un peu bête mari (que l’on trompait de toute façon avec le voisin bien plus charmant) qui allait se casser le dos au travail.