« Accueillir comme fâcheux ce qui vient rompre la monotonie »

« Je ne m’ennuyais pas – ou bien l’ennui, dès cette époque, m’était-il devenu si familier que j’ai appris à accueillir comme fâcheux tout ce qui vient rompre la monotonie raisonnée de mon existence. »


Richard Millet dans L’écrivain Sirieix.

2 réflexions au sujet de “« Accueillir comme fâcheux ce qui vient rompre la monotonie »”

  1. ces petites choses douces et ternes qui font ce qu’on appelle « les jours heureux » dont Chateaubriand disait qu’elles  » ne laissent à l’homme ni l’envie de perdre, ni de recommencer sa vie… » …

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