L’âme est très exactement cela en nous qui se rétracte lorsqu’on entend parler de séries algébriques.
Robert Musil dans L’homme sans qualités
L’âme est très exactement cela en nous qui se rétracte lorsqu’on entend parler de séries algébriques.
Robert Musil dans L’homme sans qualités
C’est juste un bon mot, j’imagine et il sonne bien. Mais pourtant que ce soit chez Malebranche, Descartes ou Saint-Augustin, l’appétit des nombres est constant. C’est même d’une certaine façon, ce qu’il y a de plus élevé que le chiffre en tant que représentant de l’ordre invisible…
Donc en philosophie, algèbre et âme font un excellent ménage….