« Les journalistes d’aujourd’hui sont si habitués à la soumission des citoyens, voire à leur ravissement devant les exigences de l’information, dont ils sont (…) les salariés, que beaucoup d’entre eux supposent coupable celui qui prétendrait ne pas s’expliquer devant leur autorité. (…) Qui ne va pas spontanément se faire voir autant qu’il peut dans le spectacle, qui vit dans le secret est un clandestin. Un clandestin sera de plus en plus vu comme un terroriste. »
Guy Debord
Un terroriste, je ne sais pas…Un parasite, en revanche, c’est certain . Exactement comme dans toute théorie économique ou sociologique du « passager clandestin ». C’est d’ailleurs peut-être pire car un terroriste on le combat, un clandestin on l’éradique.