« La Misère, cette divine marâtre, fit pour ces deux jeunes gens ce que leurs mères n’avaient pu faire, elle leur apprit l’économie, le monde et la vie ; elle leur donna cette grande, cette forte éducation qu’elle dispense à coups d’étrivières aux grands hommes. »
Balzac, dans Le cousin Pons.
Belle phrase ! Bien vu !
On si « la zermi » lorsqu’on communie avec le malheur des gensses, mossieur !